Internationalisation

Sommaire du billet

Elle n’est pas considérée comme une option stratégique en soi mais vient compléter les options stratégiques (spécialisation, intégration et diversification).
Elle peut revêtir deux formes : internationalisation commerciale ou internationalisation productive.

Internationalisation commerciale

  • Directe : Consiste à trouver quelqu’un travaillant en son nom : Agent, succursale
  • Indirecte : Prend plusieurs formes :
    • Commissionnaire agit pour le compte de l’entreprise
    • Portage : Entreprise similaire inscrit votre produit dans son catalogue
    • Licencié
    • Importateur (faible risque)
    • Société de commerce

Internationalisation productive

Implantation de moyens de production à l’étranger en recherchant de multiples avantages :

  • Baisse des barrières douanières, culturelles, règlementaire, écologique
  • Reconnaissance sur le marché (Exemple de Toyota et son implantation dans le nord de la France)
  • Baisse des coûts de production (Main d’œuvre, usine atelier, on peut anticiper un rapprochement vers l’origine des matières premières si l’on considère une augmentation prochaine des coûts de transports).

Le risque essentiel de l’internationalisation productive est la copie.
Modalités : Développement d’une filiale étrangère, commune ou industrielle.

Bilan de l’internationalisation

Avantages

  • Nouveaux débouchés car le marché potentiel est plus vaste.
  • Levée des barrières
  • Baisse des coûts (Economie d’échelle, main d’oeuvre, fiscalité,…)
  • Prolongement du cycle d’activité

Inconvénients

  • Risques politiques et économiques
  • Eloignement géographique, culturelle (pratiques différentes)
  • Difficultés de gestion, de contrôle, de management

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